Communiqué
du 22.03.2004
Les élections cantonales de la Roche-Nord témoignent de manière exacerbée de
la nationalisation des enjeux d’un scrutin qui a eu une très faible dimension
locale.
Ainsi la droite est utilement sanctionnée pour sa politique libérale au gouvernement. Dans le même temps la plupart des électeurs progressistes ont préféré concentré leur voix, dès le premier tour, sur le candidat sortant du P.S. fermant ainsi l’espace d’une véritable alternative.
Depuis le 21 avril 2002, nous assistons donc à une fermeture du champ politique progressiste, y compris dans les scrutins locaux. La prochaine assemblée générale de la Roche claire devra tirer toutes les conséquences d’une nouvelle donne qui invite à privilégier désormais l’action sur le terrain associatif et dans les mouvements sociaux.